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Des dizaines de milliers de personnes ont participé à la manifestation contre le terrorisme, presque deux semaines après l'attentat au musée du Barde dans lequel elles sont mortes 22 personnes. Au cortège ils ont participé même les autorités tunisiennes et les chefs d'état de quelques pays étrangers, comme le premier ministre italien Matteo Renzi, le président français François Hollande et le président Abu Mazen.
Vraiment avec Abu Mazen le président Michele Capasso dont s'est rappelé que pendant la visite dans le siège de Naples de la Fondazione du président palestinien, il avait alerté sur l'émergence du terrorisme même dans les pays arabes, la quelle la Tunisie, qui sont en train de entreprendre le difficile chemin de la démocratie et de la pacifique coexistence entre des différentes cultures et civilisation.
Le slogan officiel est « le monde est Barde ». En même temps au départ de la marche, le Premier ministre Habib Essid a annoncé que les forces de sécurité tunisiennes ont tué le leader du groupe terroriste auquel appartenait la cellule des terroristes. Il est Khaled Chaib, connu même comme Lokman Abou Sakher. Lokman était leader du groupe terroriste locale Ukba Ibn Nafi la forteresse duquel est dans les montagnes Chaambi à la frontière avec l'Algérie. Le Premier ministre a expliqué qui Chaib a été tué hier soir ensemble à autres 8 miliciens dans un raid dans la région de Gafsa.
Elle a été une journée particulière à Tunisi. Ainsi comme il arriva à Paris après les attaques terroristes à la rédaction de Charlie Hebdo : « La Tunisie n'est pas seule - il a dit le président Renzi - sommes ici pour témoigner notre proximité à ce Pays. Nous ne la donnerons pas vaincue aux terroristes et continuerons à combattre pour les idéaux de paix et de liberté partout ».

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Particulier, ému appréciation a été tourné des mères tunisiennes et des algériens présents au Forum aux efforts accomplis de la Fondazione Mediterraneo pour rendre dignité aux migranti morts dans la mer, en particulier la récente réalisation à Naples du « Totem de la Paix avec l'urne de Migrante Inconnue ».
Le président Michele Capasso, de 25 ans engagé pour promouvoir la solidarieté et la paix, a affirmé : « Le Totem de la Paix avec l'urne de Migrante Inconnu réalisé dans le port de Naples veut être concret témoignage soit vers les victimes mortes dans la mer soit vers qui, comme le Corps des capitaineries du port – Garde côtière, dédie son engagement pour sauver des vies humaines. Le soutien des mères tunisiennes et algériennes est le preuve qui l'action entreprise est le dû hommage vers ceux qui en perdant sa vie ils ont voulu rappeler l'attention du monde entier sur les thèmes de la liberté, de la dignité et de la paix ».
La mort des migranti déglutis dans la Méditerranée a été un des thèmes principaux de le Forum Sociale Mondiale de Tunisi.
Les mères des garçons tunisiens disparus après la révolution du 2011 ont dit encore une fois pour demander à l'Europe : « Rendez-nous nos garçons ». Elles sont au-delà de cinq cents les mères tunisiennes à la recherche de ses fils « desaparecidos » pendant leur voyage vers l'Italie. Le crie des mères tunisiennes on est uni à l'expérience des mères centre américaines. À Tunisi il y a aussi Marta Sánchez Soler coordinatrice du Mouvement Migrant Mesoamerican pour poser l'attention sur dispersés du monde et construire un réseau global parmi les mères tunisiennes et algériennes, et ensemble aussi les femmes de Plaza de Mayo, avec le commun dénominateur de la lutte, de l'espoir et de le crie : vis les ont pris, vis les nous voulons. À le Forum de Tunisi, les mères partagent le douleur et luttent contre les institutions qui cherchent à cacher le problème. Dans les photos et dans ces faces que les mères serrent entre les mains les morts prennent identité, il y a la volonté de rendre dignité et donner une vête humaine aux nombres : ils sont ceux-ci les efforts de la société civile européenne et tunisienne ils mettent ensemble des grâce à le Forum. La détermination est cette « de construire un espace méditerranée pour réaliser une hypothèse de Méditerranée où ils excellent la dignité, la justice sociale et les droits pour tous ».

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Prés de la Nouvelle Salle des Groupes de la Chambre, à la présence du Chef de l'État, de Sergio Mattarella, il s'est déroulé la rencontre promue de la Commission parlementaire Antimafia du titre « le contraste aux mafias dans la dimension nationale, régionale et locale ». Elle est la première fois qui le Parlement invite à faire le point sur l'état de la lutte à la criminalité organisée dans les différentes institutions territoriales. Une exigence dictée par l'évolution des pouvoirs mafieux qui montre une incisive delocalisation des intérêts criminels et une indubitable capacité d'enracinement dans toutes les régions d'Italie.
Des adresses de salue du Président de la Chambre, Laura Boldrini, et du Président du Sénat, Piero Grasso. Rosy Bindi, Président de la Commission parlementaire Antimafia a déroulé la relation sur « l'action des publics pouvoirs dans le contraste aux mafias: le rôle de la Commission parlementaire d'enquête. Successivement, sur « l'action des gouvernements régionaux », ils sont intervenus Stefano Caldoro, Président de la Région Campanie, et Rosario Crocetta, Président de la Région Sicile. Le thème du « Rôle des maires » a été affronté de Giuseppe Falcomatà et Giuliano Pisapia, respectivement « premiers citoyens » de Reggio Calabre et Milan.
Les travaux sont poursuivis dans l'après-midi, aux 14.30, avec l'intervention de Père Luigi Ciotti sur « les associations consultent les institutions nationales et locales ». Il est suivi une comparaison entre la Commission parlementaire et les Commissions régionales antimafias. Les conclusions ont été de Rosy Bindi.
La Fondazione Mediterraneo et la Fondation Caponnetto – que, ensemble ont constitué l'« Observatoire Méditerranée sur la Criminalité Organisée et les Mafias » – ils ont participé à la rencontre: présents Salvatore Càlleri, Michele Capasso et Pia Molinari.

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S’est déroulé à la Farnesina une rencontre entre le Réseau Italien ALF et le nouveau directeur exécutif de la Fondation Anna Lindh ambassadeur Hatem Atallah au fin d'explorer les thèmes de majeur intérêt pour le Réseau Italien, dans la perspectif de donner suivi aux événements du Décennal et à la proposition italienne de recevoir un centre de documentation ALF à Naples, quel lieu de réunion du Conseil consultatif de la même Fondation Anna Lindh.
L'ambassadeur Atallah, accompagné de Paul Walton, a été accueilli de Min.Pl. Enrico Granara et du président on. de RIDE Michele Capasso.

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Une délégation de la Fondazione Mediterraneo a participé au Forum Mondiale Social s'est déroulé à Tunisi.
Après Porto Alegre, le Forum s'est ouverte au Campus Hached El Manar, dix jours après l'attentat au Musée du Bardo.
Avec la maxime « Peuples de tout le monde unis pour la liberté, l'égalité, la justice sociale et la paix. En solidarieté avec le peuple Tunisien et toutes les victimes du terrorisme, contre chaque forme d'oppression » plus que 70.000 personnes ont participé à des séminaires, à rencontres, workshop et à événements culturels différents, avec thématiques des connexes à l'altermondialisme.
Le Forum s'est conclue samedi 28 Mars 2015 avec la marche en solidarieté de peuple Palestinien.
La mort des migrants déglutis dans la Méditerranée a été un des thèmes principaux du débat.
Les mères des garçons tunisiens disparus après la révolution du 2011 ont dit encore une fois pour demander à l'Europe : « Rendez-nous nos garçons ». Elles sont au-delà de cinq cents les mères tunisiennes à la recherche de ses fils « desaparecidos » pendant leur voyage vers l'Italie. Le crie des mères tunisiennes on est uni à l'expérience des mères centre américaines. À Tunisi il y a aussi Marta Sánchez Soler coordinatrice du Mouvement Migrant Mesoamerican pour poser l'attention sur dispersés du monde et construire un réseau global parmi les mères tunisiennes et algériennes, et ensemble aussi les femmes de Plaza de Mayo, avec le commun dénominateur de la lutte, de l'espoir et de le crie : vis les ont pris, vis les nous voulons. À le Forum de Tunisi, les mères partagent le douleur et luttent contre les institutions qui cherchent à cacher le problème. Dans les photos et dans ces faces que les mères serrent entre les mains les morts prennent identité, il y a la volonté de rendre dignité et donner une vête humaine aux nombres : ils sont ceux-ci les efforts de la société civile européenne et tunisienne ils mettent ensemble des grâce à le Forum. La détermination est cette « de construire un espace méditerranée pour réaliser une hypothèse de Méditerranée où ils excellent la dignité, la justice sociale et les droits pour tous ».
Détail appréciation a été tourné aux efforts accomplis de la Fondazione Mediterraneo pour rendre dignité aux migrants morts dans la mer, en particulier la récente réalisation du « Totem de la Paix avec l'urne de Migrante Inconnue ».

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Michele Capasso et Pia Molinari sont intervenus à la cérémonie d'ouverture du festival du court juvénile « Youfilmaker ».
Dans cette occasion elle a été une affectueuse rencontre avec Matilda Raffa Cuomo qui a remercié la Fondazione pour la solidarieté exprimée pour la mort de l'époux Mario Cuomo.

L’attention a été poste de Saint-Père Francesco au migrants.
Voici Ses mots :

Je voudrais répondre à la soeur qui a parlé au nom des immigrés et de sans fixe demeure. Elle a demandé un mot qui assure que les migrants sont fils de Dieu et qu'ils sont citoyens. Mais est-il nécessaire d'arriver à ceci ? Les migrants sont des êtres humains de seconde classe ? Nous devons faire sentir à nos frères et soeurs migrants qui sont citoyens, qui est comme nous, fils de Dieu, que sont des migrants comme, parce que tous nous sommes des migrants vers une autre patrie, et peut-être nous arriverons tous. Et personne ne se perde pour le chemin ! Tous nous sommes des migrants, fils de Dieu qui nous a mis tous en chemin. Il ne peut pas se dire : « Mais les migrants sont ainsi… Nous sommes… ». Non ! Tous nous sommes des migrants, tous sommes en chemin. Et ce mot que tous nous sommes des migrants n'est pas écrit sur un livre, est écrit dans notre chair, dans les nôtre marche de vie, qu'elle assure qu'en Jésus tous nous sommes des fils de Dieu, fils aimés, fils voulus, fils sauvés. Nous pensons à ceci : tous nous sommes des migrants dans le chemin de la vie, aucune de nous a demeure fixe dans cette terre, tous nous en devons aller. Et tous nous devons aller trouver Dieu : une première, l'autre après, ou comme il disait cet âgé, cette vieux rusée: « Oui, oui, tout ! Allées vous, je vais dernier ! ». Tous nous devons y aller.

Ces mots ont été rappelés peu avant le départ de Saint-Père pendant qu'il passait devant au Monument avec l'urne de « Migrant Inconnu », en bénissant les présents.
Dans le monument elle a été remise l'urne avec les reliques de « Migrant Inconnu ».

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À l’heures 17, le Saint-Père Francesco a rencontré les jeunes et les familles sur le Bord de mer Caracciolo.
Le Pape a répondu aux questions respectivement d’une jeune femme, d'une dame de 95 ans et d'un couple de conjoints.
Ceci le texte du dialogue, avec les réponses du Saint-Pére:

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