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20 mai 2015
Le président Capasso est intervenu dans une rencontre à l'Académie des Sciences de Baku où il a souligné l'importance du pays caucasique dans le cadre international de la connaissance et du savoir.
Capasso a souhaité de pouvoir recevoir dans le Musée MAMT de Naples une synthèse des mémoires de l'art, de la musique et des traditions de l'' Azerbaïdjan. « l'acronyme – il a affirmé – bas parfaitement même pour votre pays : MAMT = Musée de l'Azerbaïdjan – Mémoires, Art, Musique, Traditions ».
Parmi les personnalités azérie rappelées pendant la rencontre l'écrivain Zecharia Sitchin, le pianiste et la compositrice Frangis Ali-Sade, le président Ilham Aliyev et le père Heydar, le mathématique Hamlet Isakhanli, le violoncelliste et le directeur d'orchestre Mstislav Rostropovic’.
19 mai 2015
Le Président Michele Capasso a rencontré le Directeur Général de l’ISESCO dr. Abdulaziz Othman Altwaijri, parmi les organisateurs de le Forum de Baku 2015.
Altwaijri a rappelé l’activité que dure depuis de 25 ans de la Fondazione Mediterraneo et rappelé comme cette institution il ait ouvert aux Forum sur le dialogue interculturel spécialement avec les Forum de Naples de 1997 et de 2003.
Le président Capasso a fait don au Dr. Altwaijri de son livre « La Grande Méditerranée ».
19 mai 2015
À marge du 3° Forum sur le dialogue interculturel, le Président Michele Capasso a rencontré l'Ambassadeur de la République de l'Azerbaïdjan en Italie Vaqif Sadiqov auquel il a illustré le projet de la Fondazione et de la RIDE – Réseau Italien pour le Dialogue Euroméditerranéen cofondée avec le Ministère des Affaires Etrangères - pour l'Azerbaïdjan.
Parmi les diverses initiatives cette de dédier au « Totem de la Paix » aux martyrs de l'Azerbaïdjan et la réalisation d'une aire du musée MAMT de Naples à destiner à l'Azerbaïdjan avec des sections particulières dédiées à la « Mémoire », à l'« Art », à la « Musique » et aux « Traditions » du Pays Caucasien exemple de coexistence pacifique parmi les cultures et les fois.
L'initiative s'encadre même dans le jumelage parmi les villes de Naples et de Baku qui cet an célèbre le 43° anniversaire.
Le président Capasso a fait don à l'Ambassadeur Sadiqov du volume dédié au 25 º de la FM.
19 mai 2015
Dans le cours d'une rencontre prés de l'Ambassade d'Italie à Baku, le Président Michele Capasso a illustré à l'Ambassadeur Giampaolo Cutillo le projet de la Fondazione et de la RIDE pour l'Azerbaïdjan.
Parmi les diverses initiatives cette de dédier au « Totem de la Paix » aux martyrs de l'Azerbaïdjan et la réalisation d'une aire du musée MAMT à destiner à l'Azerbaïdjan avec des régions particulières dédiées à la « Mémoire », à l'« Art », à la « Musique » et aux « Traditions » du Pays Caucasien exemple de coexistence pacifique parmi les cultures et les fois.
« Elle est une mode concrétise – il a affirmé l'Ambassadeur Cutillo – de consolider le jumelage entre Baku et Naples qui cet an célèbre le 43º anniversaire ».
Le président Capasso a fait don à l'Ambassadeur Cutillo du volume dédié au 25 º de la FM.
19 mai 2015
Le Président Michele Capasso a rencontré la Directrice Générale de l'Unesco Irina Bokova à la quelle il a illustré les travaux de refunctionalisation multimédiale qui à bref commenceront chez le musée MAMT, en le rendant unique dans son genre.
La DG Bokova a confirmé sa appréciation pour l'énorme passion qui depuis 25 ans le Président Capasso dédie au dialogue et a défini le MAMT – qui accueillira les principaux sites Unesco du monde – le « Musée des Émotions ».
19 mai 2015
Le président Michele Capasso a rencontré le Cardinal John Onaiyekan, Archevêque d'Abuja (Nigeria).
Dans le cours de l'entretien elles ont été examinées les problématiques qui serrent les minorités chrétiennes et catholiques et la nécessité d'interventions politiques qui règlent les massacres d'innocents au nom de l'intolérance parmi les religions.
18 mai 2015
En cours à Baku, en Azerbaïdjan, le troisième Forum mondial sur le Dialogue interculturel, promu par l'Onu et par le Conseil d'Europe, avec la protection du président azerbaïdjanais Aliyev. Le Forum représente une opportunité pour discuter les poteaux rejoints jusqu'aujourd'hui en matière de dialogue interculturel et pour promouvoir la compréhension réciproque entre les peuples et les nations. Le thème choisi pour le Forum de cet an c’est « Culture et développe soutenable dans l'agenda pour le développe post-2015 ». Présent à la rencontre, même mons. Melchor Sanchez de Toca y Alameda, sous-secrétaire du Pontifical Conseil de la Culture. Patricia Ynestroza l'a interviewé:
R. – C’est le troisième de une série de rencontres qui a donné lieu au soi-disant « Ésprit de Baku » pour favoriser le dialogue parmi les cultures dans une aire qui est particulièrement délicate. Naturellement en collaboration avec les Nations Unies et avec les différentes initiatives du dialogue international. L'objet de ces forum internationaux est beaucoup près de la sensibilité du Pontifical Conseil de la Culture : l'idée c'est-à-dire que la culture soit un lieu de rencontre, une plate-forme du dialogue, dans laquelle il est possible se rencontrer. Si sur des questions dogmatiques, parfois, c’est difficile un dialogue serein, sur le terrain de la culture elle est par contre possible une rencontre. Nous pensons aux grands langages universels, qui sont des phénomènes culturels, dans lequel les peuples on peuvent comprendre : donc la musique, le sport, la science et même la beauté sont transversaux, sont des langages universels, qui unissent les peuples. Mais ils peuvent même diviser et être cause de division : et ceci nous le savons…
D. – Quel est-elle la position du Saint-Siège dans ce Forum ?
R. – La délégation du Saint-Siège réaffirme quelques points arrêtés : avant tout que les cultures ne peuvent jamais être isolées, parce qu'un compte est la défense de l'identité nationale, un autre est par contre isoler la culture et chercher à prévenir tout contact. Ceci est attends important. En deuxième lieu se rappeler qu'au centre de chaque culture et de chaque dialogue interculturel il y a des questions qui sont profondément religieuses, parce qu'elles sont les questions qui concernent le sens de l'existence, le sens du monde, l'origine et destine de l'univers, et de la question sur la souffrance et sur le mal, qui est des questions religieuses. Par conséquent il n'est pas possible séparer le dialogue interculturel du dialogue interreligieux. En troisième lieu il faut rappeler aux gouvernements que du dialogue interreligieux, qui est urgent dans ces temps d'attentats à la liberté religieuse dans beaucoup de lieux du monde, doit être mené des croyants et pas des gouvernements, lesquels on ne doivent pas substituer les individuels croyants. Mais se rappeler même ce que Papa Francesco a dit beaucoup de fois, que « tuer dans le nom de Dieu c’est une blasphème ». Et ceci doit être dénoncé toujours et surtout des personnes religieuses. C’est nécessaire de se rappeler même, sans hypocrisie, qui la liberté d'expression a toujours une limite, comme reconnaissent tous les systèmes civils : le droit à la liberté d'expression ne concède pas le droit de dire n'importe quel chose de quel personne. Par conséquent même les sentiments religieux des personnes vont protégés face aux excès et à la blasphème public et aux chose ridicules dans quelques Pays.
Dans le cours d'un entretien avec les représentants du Saint-Siège, le président Capasso a partagé les positions assumées en les définissant coïncident avec ces de la Fondazione Mediterraneo.
18 mai 2015
« Culture et développe soutenable » pour contraster violences et guerres : phénomènes toujours plus répandus. Avec cet objectif la Fondazione Mediterraneo, donne au-delà de 25 ans engagée pour promouvoir le dialogue interculturel et la paix, s'est unie à la délégation italienne - parmi les composantes le Min. Pl. Enrico Granara, l'Ambassadeur à Baku Giampaolo Cutillo, le Secrétaire général de MIBAC Emilio Cabasino - pour débattre avec des exposants politiques et religieux de premier plan, réunis à Baku au Azerbaïdjan le 18-19 mai 2015 pour le Troisième édition du Forum sur le dialogue interculturel.
Parmi les initiateurs de l'événement, né dans 2008, Unesco, Alliance des Civilisations des Nations Unies, Organisation mondiale du Tourisme, et Conseil d'Europe : avec la protection du Président de l'Azerbaïdjan. Des deux jours de discussions sur les poteaux rejoints et sur les stratégies à délinéer pour promouvoir le dialogue entre les peuples et les nations.
Dans son discours d'ouverture le président Ilham Aliyev a souligné comme l'Azerbaïdjan soit un exemple de mosaïque culturelle du Caucase où la cohabitation ethnique et celle religieuse sont toujours d'un point central de réflexion. « À ce Forum ils sont présents les représentants d'au-delà de 100 pays. C’est très important qu'ainsi tant de personnes soient venues ici pour partager leurs idées. Aujourd'hui dans le monde il y a encore trop de places où il se combat. Trop de violence. Il y a tant de conflits sanglants, soit en Europe que dans quelques parties de notre terre. Notre Pays est toutefois une solide île dans la région », a dit le président Aliyev.
Parmi les points centraux affrontés ceux de la sécurité et de la lutte à chaque forme d'extrémisme. Problèmes sur lesquels on fait des pas en avant comme il a fait remarquer le sénateur français Nathalie Goulet. « Voir réunis autour de la même table imam, de rabbins, de représentants des Pays du Golfe, de personnes provenant de zones de guerre qu'on ne parle pas entre eux, il est déjà un bon résultat », a déclaré Goulet. « Pour de futures meilleur esclaves une meilleure éducation. Nous devons avoir des valeurs communes. Mais les valeurs doivent être mises en pratique. Nous devons sortir de la théorie. Je sais qu'elle est une parcours longue et difficile. À l'instant le monde n'est pas sûr. C `est de beaucoup de plus violence par rapport à 10 ans il y a ».
Inévitable le débat sur comme combattre le groupe fondamentalistes islamique nigériane Boko Haram qui cherche de créer un État Islamique en Afrique occidentale. Sans compter la menace et l'avancé des intégristes de ISIL. « Dans mon pays Boko Haram représente un petit groupe de musulmans fanatiques et des terroristes. Le reste des musulmans en Nigeria est pour la paix parmi les peuples. Il y aura toujours cette division au moins jusqu'à lorsque nous ne résoudrons pas les divisions à l'intérieur de chaque religion. Nous ne pouvons pas prétendre de trouver vite une réconciliation partout. Nous avons le même problème avec le christianisme, tous ne sommes pas unis », a fait remarquer l'archevêque d'Abuja, le Cardinal John Onaiyekan.
Le Forum pour le dialogue interculturel est un événement biennal organisé en collaboration avec l'Unesco. Et vraiment la directrice générale Irina Bokova - qui de récent a visité la Fondazione Mediterraneo - a expliqué quels peuvent être les stratégies pour éviter le pire : « La situation aujourd'hui dans le monde entier est préoccupante, il y a toujours plus des conflits. Nous devenons toujours plus intolérants. Nous n'avons pas prêté la juste attention à la culture. J'entends dire à notre patrimoine culturel et à sa diversité. Nous n'avons pas donné de la grande importance aux programmes d'instruction. Nous devons nous focaliser sur les contenus des livres d'école. Nous devons étudier davantage l'histoire. Nous devons connaître notre culture et cette des autres ».
« Ils servent dialogue, tolérance et compétence ». Ceci le message lancé du Forum de Baku du président Michele Capasso qui a souligné la valeur de l'Italie – avec son réseau d'organismes et d'institutions qui depuis décennies s'occupent du dialogue et solidarité : « Nous devons être capables de partager les différences, devons apprendre à vivre ensemble sans nous tuer. Celui-ci est notre espoir, ceci est l'engagement de l'Italie : un grand Pays, naturelle passerelle de l'Europe dans la Méditerranée, qui a montré dans le cours de l'histoire récente les capacités nécessaires pour établir des stratégies et des politiques adaptées, en valorisant les exemples de bonne pratique qui pourront y permettre de vivre unis. Des diversités et de la compréhension réciproque entre les peuples et les nations sont les piliers pour construire un futur de paix ».