Baku
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18 mai 2015
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En cours à Baku, en Azerbaïdjan, le troisième Forum mondial sur le Dialogue interculturel, promu par l'Onu et par le Conseil d'Europe, avec la protection du président azerbaïdjanais Aliyev. Le Forum représente une opportunité pour discuter les poteaux rejoints jusqu'aujourd'hui en matière de dialogue interculturel et pour promouvoir la compréhension réciproque entre les peuples et les nations. Le thème choisi pour le Forum de cet an c’est « Culture et développe soutenable dans l'agenda pour le développe post-2015 ». Présent à la rencontre, même mons. Melchor Sanchez de Toca y Alameda, sous-secrétaire du Pontifical Conseil de la Culture. Patricia Ynestroza l'a interviewé:
R. – C’est le troisième de une série de rencontres qui a donné lieu au soi-disant « Ésprit de Baku » pour favoriser le dialogue parmi les cultures dans une aire qui est particulièrement délicate. Naturellement en collaboration avec les Nations Unies et avec les différentes initiatives du dialogue international. L'objet de ces forum internationaux est beaucoup près de la sensibilité du Pontifical Conseil de la Culture : l'idée c'est-à-dire que la culture soit un lieu de rencontre, une plate-forme du dialogue, dans laquelle il est possible se rencontrer. Si sur des questions dogmatiques, parfois, c’est difficile un dialogue serein, sur le terrain de la culture elle est par contre possible une rencontre. Nous pensons aux grands langages universels, qui sont des phénomènes culturels, dans lequel les peuples on peuvent comprendre : donc la musique, le sport, la science et même la beauté sont transversaux, sont des langages universels, qui unissent les peuples. Mais ils peuvent même diviser et être cause de division : et ceci nous le savons…
D. – Quel est-elle la position du Saint-Siège dans ce Forum ?
R. – La délégation du Saint-Siège réaffirme quelques points arrêtés : avant tout que les cultures ne peuvent jamais être isolées, parce qu'un compte est la défense de l'identité nationale, un autre est par contre isoler la culture et chercher à prévenir tout contact. Ceci est attends important. En deuxième lieu se rappeler qu'au centre de chaque culture et de chaque dialogue interculturel il y a des questions qui sont profondément religieuses, parce qu'elles sont les questions qui concernent le sens de l'existence, le sens du monde, l'origine et destine de l'univers, et de la question sur la souffrance et sur le mal, qui est des questions religieuses. Par conséquent il n'est pas possible séparer le dialogue interculturel du dialogue interreligieux. En troisième lieu il faut rappeler aux gouvernements que du dialogue interreligieux, qui est urgent dans ces temps d'attentats à la liberté religieuse dans beaucoup de lieux du monde, doit être mené des croyants et pas des gouvernements, lesquels on ne doivent pas substituer les individuels croyants. Mais se rappeler même ce que Papa Francesco a dit beaucoup de fois, que « tuer dans le nom de Dieu c’est une blasphème ». Et ceci doit être dénoncé toujours et surtout des personnes religieuses. C’est nécessaire de se rappeler même, sans hypocrisie, qui la liberté d'expression a toujours une limite, comme reconnaissent tous les systèmes civils : le droit à la liberté d'expression ne concède pas le droit de dire n'importe quel chose de quel personne. Par conséquent même les sentiments religieux des personnes vont protégés face aux excès et à la blasphème public et aux chose ridicules dans quelques Pays.
Dans le cours d'un entretien avec les représentants du Saint-Siège, le président Capasso a partagé les positions assumées en les définissant coïncident avec ces de la Fondazione Mediterraneo.
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