2022 (FR)
4 février 2022
Tutte le Attività (FR) -
Anno 2022
La "deuxième journée internationale de la fraternité humaine", établie par l'Assemblée générale des Nations unies après la rencontre historique à Dubaï entre le pape François et le grand imam du Caire Ahmad Al-Tayyeb, a été célébrée au Musée de la Paix - MAMT.
Le président de la Fondazione Mediterraneo Michele Capasso a résumé le message du Saint Père et a souligné comment le charisme humain et spirituel du Pape François a été uni dans une étreinte historique à Dubaï avec celui du Grand Imam d'Al-Azhar, Ahmad Al-Tayyeb, rappelant la rencontre entre Saint François et le Sultan d'Egypte Malik al Kamel à Damiette, qui a ouvert la voie au dialogue des siècles plus tard.
"La rencontre, qui s'est déroulée du 3 au 5 février 2019", a déclaré Capasso, "était pleine de signification : la première fois de la visite du pape François aux Émirats arabes, mais aussi le premier pape de l'histoire".
Le 4 février 2019, lors du voyage du Saint-Père aux Émirats arabes unis, le pape François et le grand imam d'Al-Azhar (Le Caire), Ahmad Al-Tayyeb, ont signé le Document sur la fraternité humaine pour la paix, qui a également donné lieu à la Journée internationale de la fraternité convoquée par l'ONU pour le 4 février.
"Se souvenir de cette fête - a conclu Capasso - signifie la porter dans nos cœurs et nous sommes appelés à la vivre à la première personne, en faisant prévaloir l'esprit de respect, de dialogue, de tolérance et de fraternité, pour faire face à la grande crise mondiale, et à notre petite échelle, nous devons apporter l'espoir et des outils adaptés, innovants et efficaces pour sortir, en frères, de cette pandémie prolongée, véritable défi pour l'humanité !
Tout le monde, sans distinction, a été touché, et si d'un côté la pandémie nous a mis tous au même niveau, sans aucune différence religieuse ou politique, d'un autre côté elle a augmenté la pauvreté de nombreux peuples, elle a permis que les guerres et les abus de pouvoir continuent leur chemin, aux dépens des pauvres gens, en revendiquant parfois une guerre de religion qui n'existe pas, mais qui est dictée uniquement par la logique du pouvoir.