2020 (FR)
22 avril 2020
Tutte le Attività (FR) -
Anno 2020
La Fondazione Mediterraneo et le Musée de la Paix - MAMT a célébré la "50ème Journée Mondiale de la Terre" via le web et avec de nombreuses initiatives: vidéoconférences, liens, chats et - surtout - envoi de 1000 exemplaires du volume "Cette bonne terre qui est la nôtre" publié en 2014 par la Fondation et écrit par Sœur Maria Pia Giudici, a disparu le 20.02.2020 juste le jour où le coronavirus s'est propagé en Italie.
Grâce à des vidéos multimédias de haute qualité, un don du Musée du patrimoine mondial, il a été possible de faire un voyage virtuel à travers les 5 continents, donnant la parole aux peuples qui gardent quotidiennement notre maison commune, vivant et luttant pour la protection et la reconnaissance des droits de chaque peuple dans tous les coins de la Terre.
Dans un monde trop souvent écrasé par l'interprétation européenne de l'environnement et de ses fonctions, l'engagement des organisations et des réalités émerge qui, en établissant des relations positives avec la nature, protègent les peuples originels qui ont toujours conservé le poumon de la terre. Ils se battent avec ceux qui s'engagent quotidiennement au service et à la promotion de la conservation, des forêts amazoniennes ou de la forêt du Congo.
Prendre soin de ces peuples signifie prendre soin de l'ensemble de l'écosystème, du monde, de notre maison commune.
L'interrelation entre les peuples de la terre est claire, l'interdépendance qui fait de nous les protagonistes d'un destin commun, qui dépend des actions des hommes et des femmes de tous les coins de la planète. Avec une férocité délicate, les événements actuels révèlent le lien subtil mais constant qui nous fait tous partie et architectes de l'avenir de notre planète.
Un peuple partageant une planète.
Le voyage virtuel du Musée de la Paix - MAMT nous permet d'écouter ceux qui protègent quotidiennement la terre pour protéger chacun de nous.
Le président Michele Capasso a retracé les étapes de son engagement pour la terre: à l'âge de 16 ans, le 22 avril 1970, il a participé à la première édition de la journée mondiale. Un engagement qui depuis un demi-siècle l'a vu sonner, par tous les moyens, l'alarme sur les conditions de notre maison commune, comme en témoignent des centaines de rapports et de publications.
Si je me souviens bien de sœur Maria Pia Giudici ci-dessous la préface du président Michele Capasso au volume "Cette bonne terre qui est la nôtre".