2014 (FR)
28 novembre 2014
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Anno 2014
« Pour combien de temps le Moyen orient devra encore souffrir pour manque la paix ? »
De l'Ak Saray, le très nouvel et imposant palais présidentiel d'Ankara, accueilli du Président Erdogan, les tonnerres de guerre ne se sentent certes pas, mais les frontières de Syrie et d'Iraq ne sont pas ensuite ainsi lointaines. Papa Francesco ne s'est pas laissé échapper l'occasion, et ainsi vendredi, à peine arrivé en capitale, étape initiale du voyage en Turquie, a vite visé l'attention sur tourmentée région, trop de temps ravagée de guerres qui semblent s'engendrer toutes seules dans une spirale infinie.
Dans le premier discours officiel en terre turque, le Pontife a réaffirmé qu'il ne nous peut pas se résigner à la continuation des conflits comme s'il n'était pas possible un changement en mieux de la situation. Et il a lancé un nouveau, affligé appel à entreprendre avec courage des initiatives qui portent à la paix.
En répondant à l'invitation qu’il lui a été tourné de Bartolomeo le 19 Mars 2013, Francesco est arrivé en Turquie vendredi 28 novembre surtout pour renforcer le profond lien qui unit les sièges de Rome et de Costantinopoli. Mais si le souffle oecuménique constituera le coeur de la visite, avec le rendez-vous à Fener dans la fête patronale de Saint'André, le Pontife ne pouvait pas ne pas tenir compte de la situation de l'aire et des particularités de la nation qui le reçoit.
Le voyage à peine commencé se déroule en effet dans un Pays laïque, à immense majorité musulmane, qui est un pont parmi l'Europe — à laquelle la Turquie regarde depuis longtemps avec l'auspice pouvoir y entrer comme membre de l'EU — et au Moyen orient en tant que toujours instable, maintenant à des prises même avec la sanguinaire avancée du soi-disant État islamique. Que poursuivie, en forçant elles à la fuite, entières populations ; et parmi ces beaucoup de communautés chrétiennes.
Le président Capasso a souligné l'importance du voyage papal et le rôle crucial de la Turquie, déjà réaffirmé de la Fondazione dans plus d'occasions et, spécialement, pendant la visite du président Erdogan à Naples chez la siège de la même Fondazione.
« Une grande émotion la révérence au Patriarche Bartolomeo I, un espoir pour la pacifique coexistence entre des religions et des cultures », a conclu Capasso.
- LE PROGRAMME DE LA VISITE DU PAPA, LES DISCOURS, LES RENCONTRES
- LA VISITE DU PRÉSIDENT ERDOGAN À NAPLES
- LA PRESSE:
- L'Osservatorio Romano 1
- L'Osservatorio Romano 1
- La Repubblica
- La Presse
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- Ansa
- Famiglia Cristiana
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